Si la proposition de loi examinée en première lecture ce mardi 1er avril à l’Assemblée nationale est adoptée, il s’agira d’une évolution majeure mais loin d’être suffisante, selon Khadija Azougach, avocate spécialisée et anthropologue juridique.
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Définition légale du viol : “La jurisprudence intègre déjà la notion de consentement, mais il faut que la loi se mette en conformité” …

